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Mécénat

Présentation

Parce que le Désert de Retz n’est pas un lieu tout à fait comme les autres, votre engagement à soutenir sa restauration s’inscrit dans une démarche socialement responsable et durable. Différentes solutions de mécénat ou de parrainage s’offrent à vous selon que vous souhaitiez vous lancer dans un projet de soutien patrimonial d’envergure ou une opération emblématique valorisante en termes d’image.

Les avantages

Tout donateur peut bénéficier d’une réduction d’impôt dans les limites de 66 % pour les personnes physiques et de 60 % pour les sociétés, conformément aux dispositions du Code Général des Impôts. Un reçu fiscal sera délivré par le comptable public.

Entreprises : les contreparties

En devenant mécène du Désert de Retz vous êtes associé à la mise en valeur et au développement d’un patrimoine d’exception. Vous bénéficierez ainsi de contreparties valorisantes. Elles seront adaptées et bénéficieront d’une convention dont la valeur, la durée et la nature seront déterminées en fonction du montant du don. Tout ceci fera l’objet d’une convention entre la Mairie de Chambourcy et l’entreprise.

Des restaurations à poursuivre

Reconstruire ou simplement restaurer, de nombreuses actions de mécénat sont encore à réaliser sur le site du Désert de Retz. La Maison Chinoise par exemple qui a totalement disparu. Les communs, partiellement en ruines qu’il conviendrait de reconstruire. Le bas-relief du Théâtre découvert effacé avec le temps... La Mairie de Chambourcy tient à disposition un document chiffré et précis des restaurations à poursuivre.

Les fabriques à restaurer 

Le Petit autel presque ruiné
Situé dans la prairie qui s’étend au sud de la colonne détruite, il repose sur un socle circulaire surmonté d’un piédestal qui supportait un vase. M. de Monville pouvait le contempler directement depuis son cabinet de travail.

petit autel

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Restaurations à prévoir : consolidation et reconstruction à l’identique du vase ornant autrefois l’édifice.

Le Théâtre découvert sous un berceau de grands ormes
Aujourd’hui privé de son ombrage, le théâtre a conservé deux pots à feu chinois à pattes de lion encadrant le mur de scène. Ce mur était jadis appareillé d’un bas-relief représentant Bacchus enfant sur son char traîné par deux amours.

 théâtre découvert

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Restauration à prévoir : création à l’identique du bas-relief.

La Tente tartare
Située sur l’Île du Bonheur, cette tente est en tôle peinte à larges rayures turquoise et jaunes et se termine par un dôme « fait en matière siamoise ». Tendue à l’intérieur de toile de Jouy, elle servait de salle d’armes.

tente tartare 1

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Restaurations à prévoir: réfection des peintures extérieures usées par le temps et parure intérieur en toile de Jouy.

La Maison chinoise
Construite vers 1777- 1778, ce fut la première habitation de M. de Monville dans le Désert mais aussi la première véritable maison chinoise en Europe. Traduisant l’admiration de son créateur pour le « Céleste Empire », elle s’est écroulée sur elle-même au début des années 1970.

chinoise 2 exter sud

 

 

 

 

 

 

 

Restaurations à prévoir : une reconstruction complète de l’édifice est nécessaire.

Le Rocher
Il s’agit d’une grotte d’aspect naturel recouverte de végétation et encadrée par deux statues de satyres. Symbole des débuts de l’humanité, elle soumettait le visiteur à un passage initiatique de l’obscurité à la lumière, de l’obscurantisme à la connaissance.

Rocher

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Restaurations à prévoir : une reconstruction complète de l’édifice est nécessaire.

Les Communs
Maison bourgeoise de la propriété de 13 hectares acquise par M. de Monville en 1774, elle fut transformée en communs, regroupant : le logement du concierge, les cuisines, et peut-être un appartement de bains.

Actuellement en ruines les communs sont en partie hors d’air hors d’eau.

Le Temple du repos
Construit en 1777, il était composé d’une rotonde d’arbres, précédée d’une façade à deux portes décorées de peintures en trompe-l’œil. Elles étaient encadrées par deux colonnes baguées, surmontées d’un entablement et d’un fronton.

temple du repos

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Restaurations à prévoir : reconstruction de l’entablement et du fronton.